Qualcomm processeurs
((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clausede non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Le jury discute d’autres questions, et l’affaire estexpliquée)
Un jury du tribunal fédéral américaindu Delaware a déclaré vendredi qu’il était dans l’impasse surl’une des questions qu’il a été invité à résoudre dans le procèsd’Arm Holdings O9Ty.F ARM.O contre Qualcomm QCOM.O , maisqu’il délibérait toujours sur les deux autres questions dont ilétait saisi.
Le procès d’Arm contre Qualcomm demande la destruction desconceptions de puces qu’elle a acquises auprès de Nuvia pour 1,4milliard de dollars en 2021. La technologie de Nuvia est devenuela base de la poussée de Qualcomm sur le marché des ordinateurspersonnels.
L’enjeu de cette affaire, dans laquelle Arm poursuit son plusgros client, est le sort de l’expansion de Qualcomm sur denouveaux marchés grâce à la technologie de Nuvia et la questionde savoir si Arm peut continuer à être considéré comme un acteurneutre dans l’ensemble du secteur des puces.
Nuvia et Qualcomm avaient toutes deux conclu des accords delicence avec Arm, et Qualcomm a cherché à se transférer lesconceptions de Nuvia après avoir racheté la jeune entreprise.Arm a objecté que Nuvia avait besoin de son autorisation pour cefaire et a mis fin à la licence de Nuvia, ce qui a déclenché labataille juridique.
L’affaire nécessite un verdict unanime du jury de huitpersonnes sur trois questions. La première de ces questionsétait de savoir si Nuvia avait violé son accord avec Arm, et lejury a déclaré vendredi qu’il était dans l’impasse.
Le jury a déclaré qu’il débattait encore des deux autresquestions, à savoir si Qualcomm a violé l’accord de licence Armde Nuvia et si les conceptions de processeurs centraux deQualcomm sont correctement licenciées dans le cadre de sonpropre accord avec Arm.
© 2024 Thomson Reuters. All rights reserved. Reuters content is the intellectual property of Thomson Reuters or its third party content providers. Any copying, republication or redistribution of Reuters content, including by framing or similar means, is expressly prohibited without the prior written consent of Thomson Reuters. Thomson Reuters shall not be liable for any errors or delays in content, or for any actions taken in reliance thereon. “Reuters” and the Reuters Logo are trademarks of Thomson Reuters and its affiliated companies.
